Entraves à la circulation
En raison de travaux prévus sur le réseau d’aqueduc, des entraves sont à prévoir au centre-ville, du 6 au 20 décembre. La rue Alphonse-Desjardins sera fermée, entre l’Avenue du Centenaire et la rue Bu...
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Dans le contexte du projet de conversion à l’électricité de la distillerie Diageo, à Salaberry-de-Valleyfield, Hydro-Québec doit construire une nouvelle ligne de transport souterraine à 120 kilovolts ...
La Ville de Salaberry-de-Valleyfield a été contrainte de fermer partiellement le sentier riverain dans le secteur des quais du parc Sauvé, alors que la berge présente un risque d’affaissement localisé. Afin que personne ne puisse s’approcher de la rive, une clôture et des barricades ont été installées. Les piétons peuvent circuler sur une partie de la piste cyclable le long de la clôture, mais les cyclistes sont détournés au centre du parc.
La Ville est en discussion avec le ministère de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques afin de pouvoir réaliser une partie des travaux en urgence. Elle espère être autorisée à opérer d’ici cet automne 2022, mais il est possible que les délais pour ce type de demande nous conduisent à l’automne 2023.
Parallèlement, en ce qui concerne l’ensemble des travaux de réfection majeure des berges de la baie Saint-François, tel que présenté en 2017, la Ville reste totalement dépendante des autorisations environnementales. Les échanges se poursuivent avec les autorités compétentes en vue d’obtenir les autorisations nécessaires à la tenue de ces travaux.
En 2017, après deux ans de travail, la Ville de Salaberry-de-Valleyfield dévoilait un concept d’intention d’aménagement de la baie Saint-François et des espaces adjacents. Déjà, la piste cyclable du parc Delpha-Sauvé était le témoin de l’affaiblissement et de l’instabilité des berges des propriétés municipales en bordure de la baie Saint-François. Le concept se compose de plusieurs projets riverains misant sur l’accessibilité publique, la mise en valeur de ce joyau et la protection de la richesse environnementale. Les travaux, rendus obligatoires face à l’érosion naturelle, sont aussi l’opportunité de proposer des aménagements bonifiant la qualité de vie, l’attractivité et l’expérience à destination.