Avis de fermeture – Parc Delpha-Sauvé
En raison des travaux du chantier des berges de la baie Saint-François qui s'accentueront ce printemps et de l'ajout d'un second chantier visant la réfection de la terrasse du chalet J.H.-Besner, le p...
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Une réparation d'un bris d'aqueduc sera effectuée sur la rue Grande-Île entre les rues Loy et Notre-Dame, dans la nuit du 21 au 22 mai 2025. Les travaux de réparation entraîneront une coupure d'eau d...
Dans le cadre des travaux de réfection des infrastructures sur le boulevard Bord-de-l'Eau, des fermetures ponctuelles à la circulation sont prévues à l'intersection des rues Grande-Île et Montreuil du...
Afin de brosser un portrait des milieux aquatique et terrestre à proximité du pont André-Lamanque, liant Salaberry-de-Valleyfield au Parc régional des Îles-de-Saint-Timothée, Hydro-Québec procédera à ...
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C’est une histoire et une photo pas comme les autres. C’est une équipe très fière de poser devant le tout premier projet d'aménagement paysager collaboratif 100 % campivallensien, et ce, de la conception à la réalisation.
Le Service de l'environnement de la Ville et son Escouade verte, les cols bleus et le PRAQ ont uni leurs forces et leur savoir-faire, sans intervention extérieure, pour faire du carrefour giratoire de la rue Moco, non pas un simple espace vert, mais un site de biodiversité utile à notre environnement.
Cet automne trois arbres seront ajoutés, puis il restera au site à gagner en maturité. Chaque année, nous pourrons apprécier davantage l’esthétique de l’aménagement, mais il faudra cinq ans pour pouvoir apprécier pleinement le volume et la beauté du projet qui ne fera que gagner en utilité environnementale.
Site après site, le filet de maintien de la biodiversité se tisse.
Voilà ce que Véronik Lahaie, technicienne en horticulture au Service de l’environnement peut en dire...
« Nous avons discuté le concept autant que le design de l’aménagement que j’ai basé un peu sur le thème des champs fleuris, alors qu’il sera autant observé en hauteur, des balcons de la résidence, qu’à partir du sol sur 360 degrés.
Le choix des plantes s’est fait beaucoup en fonction de leur résistance aux conditions environnementales difficiles : sécheresse, vent, pollution, sels de déglaçage, etc. J’ai aussi pris en considération leurs qualités pollinisatrices (Perovskia atriplicifolia, Salvia nemerosa « Marcus », Thymus pseudolanuginosus) et misé, bien sûr, sur des plantes indigènes (le Descampsia caespitosa et l’Allium Shoenoprasum). Elles comptent pour 40 % de l’aménagement. Leur impact sur la biodiversité et leur fonction écologique font d’elles des incontournables!
D’autres éléments ont été pris en considération : la hauteur des végétaux, afin de ne pas obstruer la vue des conducteurs, les besoins en entretien pour limiter les frais et les besoins en ressources, et les périodes de floraisons pour égayer les cœurs tout au long de la saison! »
Étapes du projet :
Alors que le Québec célèbre la Semaine de la municipalité et que la Semaine de la biodiversité campivallensienne commence ce dimanche, la Ville de Salaberry-de-Valleyfield salue le travail collaboratif exemplaire de ces équipes.