INFO TEMPÊTE - 9 août 2024
GESTION DES DÉBRIS 2e collecte spéciale de déchets et encombrants Dernière mise à jour : 10 septembre, 17h00 La deuxième et dernière collecte spéciale de déchets résultant du passage de la tempête Deb...
GESTION DES DÉBRIS 2e collecte spéciale de déchets et encombrants Dernière mise à jour : 10 septembre, 17h00 La deuxième et dernière collecte spéciale de déchets résultant du passage de la tempête Deb...
Le décompte final du référendum concernant le projet de règlement 360 fait état de 33 votes contre et de 11 votes pour des travaux d’infrastructure dans le parc d’affaires Arthur-Miron. Le projet de règlement ne pourra donc pas entrer en vigueur.
Le règlement 360 visait à régler quatre problématiques distinctes dans ce secteur, soit : la faible capacité du réseau de bornes d’incendie, les problématiques de drainage, l’absence d’infrastructures (égouts, aqueduc) dans certaines portions du parc ainsi que la nécessité d’y aménager un accès routier sécuritaire et fonctionnel.
Le conseil devra donc revenir très rapidement avec une nouvelle proposition visant à résoudre, à tout le moins, le dernier problème. « Nous avons reçu une lettre du ministère des Transports nous confirmant que si nous ne proposions pas une autre solution d’ici le 22 janvier 2020, le ministère irait de l’avant avec son plan initial visant à installer des feux de circulation à l’intersection Bord de l’Eau et Monseigneur-Langlois, tout en fermant d’autres ouvertures du terre-plein central du boulevard. Comme nous souhaitons conserver le contrôle sur celles qui resteront ouvertes, nous allons à coup sûr proposer autre chose », a mentionné le maire de Salaberry-de-Valleyfield, monsieur Miguel Lemieux.
« C’est triste pour ce secteur qui aurait pu avoir un bien meilleur potentiel, mais la démocratie a parlé. Nous devons donc concentrer nos efforts uniquement sur la question de l’accès. Ainsi, même s’il est désormais clair que plusieurs sections du parc ne pourront jamais être développées à leur plein potentiel, le plus important demeure de nous assurer qu’il sera encore possible d’y entrer et d’en sortir le plus facilement possible et surtout, de façon sécuritaire », a conclu monsieur Lemieux.